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Pourquoi consulter un chiropracteur ?

Vous avez entendu parler de la profession chiropratique, mais ne savez pas toujours si le chiropracteur peut vous aider à diminuer vos inconforts et douleurs ?

Cet article vous aidera à appréhender le champ de compétence du chiropracteur.

Qu'est-ce que la chiropraxie ?

La chiropraxie est une profession de santé, fondée en 1895 à Davenport [USA] par Daniel David Palmer.

Son principe fondateur est de rétablir et maintenir un fonctionnement optimal du système nerveux en corrigeant les « subluxations vertébrales » par des « ajustements chiropratiques ».

Les subluxations sont des zones de dysfonctionnements articulaires vertébraux associés à des interférences nerveuses provoquant une large symptomatologie.

En 135 ans la chiropraxie a évolué et de nos jours elle s'adresse essentiellement aux perturbations neuro-musculo-squelettiques via son outil principal, l’ajustement chiropratique [souvent appelé à tord manipulation vertébrale].

De nombreuses recherches scientifiques ont démontré son efficacité face aux douleurs de la colonne vertébrale, que ce soit la région lombaire, dorsale ou cervicale.

D'autres recherches témoignent de l'influence de l'ajustement chiropratique sur l'amélioration de la transmission des informations nerveuses, procurant un mieux-être grâce à une physiologie organisée.

La chiropraxie est reconnue en France depuis la loi "Kouchner" de 2002.

Ses décrets d’applications datent de janvier 2011, répertoriant et encadrant la pratique chiropratique. C'est seulement en février 2018 que la formation universitaire est encadrée légalement sur une base de cinq années d’études [niveau Master] totalisant cinq mille heures de formation.

Il existe aujourd'hui près de 1 500 chiropracteurs en France.

Une seule école est présente sur le territoire : l'Institut Franco - Européen de Chiropraxie [IFEC] qui possède deux campus, Paris et Toulouse. La capacité de chaque promotion est de cent étudiants. Deux cents inscriptions sont possibles chaque année.

La chiropraxie n'est pas prise en charge par la sécurité sociale, cependant de plus en plus de mutuelles remboursent en partie ou en totalité les soins.

Il existe d'autres professions de santé manuelles telles que l'ostéopathie ou la kinésithérapie. Chacune ayant son propre champ d'action.

Le chiropracteur agit sur le système nerveux via des ajustements chiropratiques [manipulations vertébrales]. Il est spécialiste des affections liées à la colonne vertébrale.

L'ostéopathe intervient sur l'ensemble du corps [moins spécifiquement qu'en chiropratique] via des manipulations assez douces. Il est compétent en thérapie des fascias et possède une certaine expertise auprès les nouveaux-nés via des interventions sur les os du crâne.

Le kinésithérapeute quant à lui s'adresse à la masse musculaire et ligamentaire. Il est adapté et recommandé pour toute rééducation et réhabilitation post-traumatique ou post-opératoire.

Comme évoqué ci-dessus le chiropracteur travaille via des ajustements délivrés sur la colonne vertébrale afin de permettre au corps d'augmenter son potentiel et de s'exprimer au maximum de ses capacités, grâce à un système nerveux libre d'interférence.

L'amélioration des performances est la raison principale de l'intérêt des athlètes de haut niveau pour la chiropratique.

La plupart des champions mondiaux sont accompagnés de leur chiropracteur.

Pour ne citer que quelques-uns : Usain Bolt, Ivan Lendl, Mickael Jordan, Tiger Woods , Arnold Schwarzenegger, Martina Navratilova........

De nombreuses études ont démontré l'efficacité de la chiropraxie dans le milieu sportif.

Elle est souvent comparée à un dopant naturel.

La chiropratique en corrigeant les dysfonctionnements articulaires et les perturbations du système nerveux, offre à l'organisme un regain d’énergie, utile pour optimiser les performances.

Le chiropracteur de par son analyse du corps et du mouvement favorisera le fonctionnement des articulations et des chaines musculaires impactant la puissance physique lors de la pratique sportive.

Egalement le nombre de blessures liées à une pratique sportive intensive sera moindre grâce à l'équilibre postural apporté par les soins chiropratiques.

Tout le monde n'a pas la chance de pouvoir consulter un chiropracteur.

Une association humanitaire française "Kheir D'Afrik" a vu le jour en 2012 afin de dispenser des soins chiropratiques aux plus démunis.

En partenariat avec l'IFEC [Institut Franco Européen de Chiropraxie] elle se compose de bénévoles [étudiants et chiropracteurs] qui se rendent, dans différents pays d'Afrique, trois fois par an pour des missions d'une durée de deux semaines.

D'autres associations humanitaires existent dans le monde [Italie, USA, Canada, Australie ....]

Prise en charge de la douleur et prévention en chiropraxie

Nos patients posent souvent la question: "Pourquoi mon dos me fait-il souffrir ?"

Suite à un traumatisme la réponse apparait évidente.

Mais dans la majorité des cas les douleurs apparaissent progressivement.

Si la résistance vertébrale est déjà affaiblie, les douleurs peuvent survenir spontanément à la suite d'un geste anodin tel qu'enfiler une chaussette, ramasser un objet au sol ou simplement tourner la tête...

Alors quel processus déclenche cette douleur ?

Les douleurs de dos sont souvent la conséquence de compensations, suite à des traumatismes antérieurs accumulés pendant plusieurs années.

A l'instar de la goutte d'eau faisant déborder le vase, le geste anodin illustre le micro-traumatisme additionnel, fatal à l'équilibre précaire de notre colonne vertébrale.

La douleur permet à notre organisme d'exprimer un signal d'alarme utile.

La douleur se manifeste d'abord de manière anodine, seulement pendant quelques secondes [ou minutes] et avec une faible intensité.

Sans correction de la situation de déséquilibre vertébral progressif, les minutes d'inconfort deviendront des heures, puis des journées, jusqu'à installer une souffrance continue.

La douleur s'accentuera et s'exprimera parfois sans répit.

Rester attentif aux premières gènes rencontrées, même modérées et les prendre en charge évitera des situations futures handicapantes.

Chacun pratique un brossage de dents quotidien, afin de préserver un confort et une santé

bucco-dentaire. Et consulte au moins une fois par an un dentiste.

Quelles précautions [et discipline] adopter pour protéger notre dos ?

Au delà de notre hygiène de vie, il est sage de consulter un chiropracteur avant l'apparition de douleurs invalidantes; ainsi corriger les compensations

et dysfonctionnements existants, et prévenir une dégradation radicale de l'équilibre vertébral.

Bien souvent les douleurs de dos sont associées à l'arthrose, à une hernie discale, à des craquements ou même à l'humidité.

Toutefois ces liens ne sont qu'approximations devenues légendes urbaines et croyances.

En effet, la hernie discale [ particulièrement dans la région lombaire ] est trop systématiquement portée responsable des douleurs ressenties.

Toutefois plusieurs études statistiques indiquent que dans une population asymptomatique [ absence de douleur ], 30% des moins de 20 ans présentent une hernie discale détectable sur un scanner.

Nous en déduisons donc l'absence de lien direct entre la hernie discale et la présence d'une douleur.

Il en est de même pour l'arthrose, pouvant être à l'origine de certains inconforts vertébraux, mais seulement dans de rares situations.

La plupart du temps l'arthrose limite l'amplitude de mouvement articulaire sans toutefois présenter de douleurs directes.

En revanche l'arthrose témoigne d'un dysfonctionnement articulaire ou d'une sur-utilisation compensatoire dans la zone affectée.

L'arthrose s'installe de manière défensive et protectrice. La limitation de mouvement permet d'éviter un stress supplémentaire aussi bien sur l'articulation que sur les structures méningées

[système nerveux].

Une zone vertébrale arthrosée est souvent associée a une autre zone hypo-mobile, au dessus ou en dessous.

Certaines personnes, grâce à leurs articulations douloureuses, peuvent prévoir l'arrivée de la pluie.

Comment l'expliquer ? La croyance populaire prétend que l'humidité provoque des douleurs articulaires.

En réalité ces douleurs sont la conséquence d'un changement de pression atmosphérique, impactant directement les articulations fragilisées par un dysfonctionnement [ arthrose ou mal-position ].

L'eau et l'humidité n'ont aucun lien avec d'éventuelles souffrances articulaires.

On nous recommande souvent de ne pas "craquer" nos articulations régulièrement.

Ce geste provoquerait une usure des structures articulaires due au frottement des os sollicités.

L'idée est populaire, néanmoins pas très juste. En effet, le "craquement" des articulations n'implique pas de frottement ou d'usure des os.

Le bruit entendu est une décompression gazeuse à l'intérieur de la capsule articulaire- plus précisément un changement d'état du liquide synoviale [ lubrifiant articulaire] transformé en gaz.

Il est toutefois déconseillé de faire "craquer" régulièrement nos articulations, même si cela semble apporter un bref soulagement.

La zone mobilisée correspond à une articulation déjà trop mobile, compensant une autre région vertébrale ayant perdu sa souplesse. Le risque étant d'amplifier le déséquilibre.

Pour évaluer la résistance de votre colonne vertébrale, répondez aux 40 questions sur l'état de votre dos .cliquer ici.

La prise en charge des douleurs du membre inférieur, du bassin et des vertèbres lombaires

Concernant la partie inférieure du corps, pour quels types de douleur les patients consultent un chiropracteur ?

Vous trouverez ici une liste non exhaustive accompagnée d'articles plus détaillés.

La sciatique [ou sciatalgie] est l'un des motifs récurrents des consultations chiropratiques.

Les nerfs [ le système nerveux ] étant de la compétence du chiropracteur il est logique de s'adresser à lui pour une inflammation du nerf sciatique.

Dans huit cas sur dix le chiropracteur réussira à régler le déséquilibre vertébral responsable de la douleur.

Les deux autres situations, plus sévères, avec atteinte prolongée du nerf sciatique nécessitera de lever la compression par voie chirurgicale.

Dans ce cas le chiropracteur après évaluation de la condition vertébrale et neurologique référera vers le spécialiste compétent.

Ne pas oublier que le traitement de la sciatique est long et sa progression lente au départ.

Devoir patienter quelques séances avant amélioration, est commun. Il serait imprudent de ne pas respecter le plan de traitement de quelques mois, proposé par le chiropracteur afin d'obtenir une stabilisation.

Même si la compression est allégée assez rapidement, le corps réclame un temps de récupération et de cicatrisation. C'est pourquoi souvent l'intensité douloureuse diminue après quelques consultations, mais néanmoins persiste un ressenti de gêne sciatique dans la jambe pendant plusieurs semaines.

Les douleurs lombaires [bas du dos] accompagnées ou non d'une sciatique, sont également un motif régulier de consultation.

Que le lumbago soit aiguë, ou que les gênes soient seulement présentes lors de la position assise ou debout prolongée, les douleurs lombaires ont souvent pour origine un dysfonctionnement de l'équilibre pelvien, plus communément appelé "bascule du bassin". Ce dernier étant la base de la colonne vertébrale, un porte à faux s'installe avec une répartition inégale des charges et contraintes vertébrales.

Souvent le symptôme douloureux n'est pas instantané et quelques mois, voire quelques années s'écoulent entre le moment où le bassin est déséquilibré et l'apparition d'un véritable inconfort vertébral.

Le chiropracteur s'occupe également d'autres articulations du membre inférieur, telles que les hanches, les genoux et les pieds.

Il est cependant important de souligner que couramment, en rééquilibrant le bassin, les douleurs du membre inférieur s'atténuent, voire disparaissent.

Les maux de hanche sont associés à l'équilibre du bassin ou/et des lombaires.

Bien souvent un dysfonctionnement des hanches entraînera par compensation des gênes à distance, dans la région basse du dos ou dans le genou.

Parfois la radiographie révèle une arthrose coxo-fémorale, témoin d'une perturbation

bio-mécanique de l'articulation de la hanche.

Selon l'ampleur de l'usure du cartilage, l'intervention chiropratique de rééquilibrage peut se révéler insuffisante. Le chiropracteur orientera alors le patient vers une intervention chirurgicale pour la pose d'une prothèse [intervention classique- très peu d'échecs].

Les douleurs de genou sont de quatre types: latérales, internes, antérieures ou postérieures.

A chaque zone douloureuse correspond un dysfonctionnement ou une compensation.

Dans la majorité des cas, la gonalgie exprime une compensation d'un déséquilibre du pied ou d'une hanche/bassin. Il est donc essentiel pour cette catégorie de prise en charge, de conserver un regard global sur le squelette.

Les pathologies du genou les plus communes sont le syndrome fémoro-patellaire et le syndrome de la bandelette ilio-tibiale.

Le syndrome fémoro-patellaire est une irritation antérieure liée à un frottement de la rotule sur le fémur, provoquant des douleurs antérieures accentuées par la montée ou la descente d'escaliers ou/et par une position assise prolongée.

Outre le dysfonctionnement articulaire fémoro-tibiale ou fémoro-patellaire, il existe généralement un déséquilibre entre les chaines musculaires antérieures de la cuisse [quadriceps] et les chaines postérieures [ischios jambiers].

Le syndrome de la bandelette ilio-tibiale, ou syndrome de l'essuie glace est une pathologie courante chez le cycliste ou le coureur [lorsqu'il pratique des courses avec dénivelés].

La douleur se manifeste lors de l'effort sur la partie latérale du genou. Elle est généralement causée par un muscle moyen fessier ne jouant plus son rôle de stabilisateur de la hanche, et/ou par un dysfonctionnement articulaire en rotation de la hanche et/ou du genou.

Les douleurs de pied sont souvent directement liées aux articulations du pied, parfois amplifiées par un déséquilibre vertébral.

Les plus connues sont les fameuses épines calcanéennes, les fasciites plantaires, ou les tendinites d'Achille pour ne citer que les plus courantes.

Faut-il porter des semelles orthopédiques pour rééquilibrer le pied ?

Combien de temps les conserver ? Ou existe-il des méthodes plus naturelles ?

Pour clore le chapitre sur le bassin, lombaires et douleurs du membre inférieur, nous nous devons de vous informer qu'une habitude nuisible, très répandue affecte cette partie de votre colonne vertébrale.

Croiser les jambes en position assise est l'ennemi de votre colonne vertébrale.

Si vous adoptez systématiquement cette position [souvent de manière inconsciente] en vous asseyant, alors vous n'échapperez pas à une perturbation dans le bas du dos ou dans le membre inférieur [plus ou moins sévère et plus ou moins rapidement].

Agissez préventivement, n'attendez pas l'apparition des douleurs et modifiez cette habitude préjudiciable à votre stabilité vertébrale.

La prise en charge du membre supérieur, du haut du dos et des vertèbres cervicales

Les résultats des traitements chiropratiques sur les douleurs cervicales [du cou] sont la fierté de la profession, qui depuis plus d'un siècle a compris le rôle essentiel des vertèbres cervicales dans l'équilibre général de la colonne vertébrale.

Les instabilités articulaires cervicales au delà des douleurs localisées dans la nuque, provoquent également de nombreux symptômes indirects, tels que maux de tête, migraines, vertiges, déséquilibre, insomnie, acouphène, irradiation dans le bras, douleurs dorsales ou lombaires, troubles de la vue, nausées, irritabilité, fatigue chronique et d'autres encore.

Les maux de tête d'origine cervicale ou céphalée cervicogéniques peuvent être purement articulaires et provoquer des douleurs référées dans le crâne, ou sinon par tensions musculaires dans la région sous occipitale [appelées céphalés de tensions].

Le chiropracteur par son analyse déterminera si le mal de tête est de son ressort et envisagera alors la prise en charge la plus adaptée. Sachant que l'ajustement chiropratique cervical obtient plus de 80% de résultats positifs [amélioration ou disparition].

Un dysfonctionnement de la région haute cervicale provoquera parfois une sensation vertigineuse, un déséquilibre et des acouphènes.

Il existe plusieurs explications à ces symptômes, soit proprioceptives et donc musculaires, soit vasculaire.

En effet la région haute cervicale possède de nombreux récepteurs proprioceptifs via les muscles sous occipitaux aidant à positionner la tête dans l'espace.

Si ces muscles perdent la communication synchronisée avec les autres organes affectant l’équilibre [la vision et l'oreille interne], les symptômes surviennent.

Une correction articulaire précise est alors requise à hauteur principalement des deux premières cervicales, réduisant ainsi les tensions des muscles sous-occipitaux.

Un facteur vasculaire est également à considérer. Il est favorisé par une réduction de mobilité en rotation des vertèbres cervicales perturbant l'irrigation sanguine du cerveau et engendrant les symptômes ci-dessus cités.

La main du chiropracteur saura aider à réduire ce genre d'inconvénient.

Pour de plus amples explications vous pouvez consulter nos deux articles :

Les postures adoptées affectent la statique vertébrale.

Il est classique que des patients consultent, car voûtés avec un port de tête vers l'avant, installant un inconfort dans la région des trapèzes, des épaules et de la nuque.

Vous avez certainement déjà rencontré le terme de "text neck" aussi appelé "turtle neck".

Une posture que nous adoptons lorsque nous utilisons longtemps l’ordinateur ou le smartphone.

Le chiropracteur restituera des habitudes de posture bénéfiques en modifiant les schémas musculaires acquis [par les tensions installées]. Et le cas échéant vous conseillera des exercices spécifiques dans la continuité des corrections posturales.

Le chiropracteur, spécialiste du sytème neuro-locomoteur prendra aussi en charge les névralgies cervico-brachiales.

Cette douleur irradiant dans le bras a pour origine une irritation nerveuse dans la région cervicale. Plusieurs causes d'irritations sont constatées : une protrusion discale [ou hernie], de l'arthrose articulaire ou une implication musculaire mimant une NCB [névralgie cervico-brachiale].

De part son examen clinique et sa palpation, le chiropracteur déterminera l'origine de l'inconfort. Il corrigera le déséquilibre ou réfèrera à une autre branche thérapeutique. Douleurs associées aux névralgies cervico-brachiales- et exercices conseillés pour atténuer l'inconfort cliquer ici.

Les affections tronculaires du type syndrome du canal carpien ou du canal de guyon seront examinées par le chiropracteur.

Il s'agit généralement d'une compression nerveuse survenant dans la région du poignet souvent due à une mobilité articulaire défaillante des petits os du carpe, sinon à une difficulté musculaire mimant la symptomatologie ou encore à une hyper-laxité ligamentaire.

La hernie discale cervicale, à différents stades de progression, est souvent rencontrée dans le métier de chiropracteur. Elle est dans 90% des cas présente en regard de C5-C6.

Notre mode de vie sédentaire en position assise devant un ordinateur et le manque d'activité sportive contribuent fortement au problème articulaire.

Toutefois la diminution de mobilité vertébrale dans la région haute thoracique en est la

cause principale.

La chiropraxie s'intéresse également aux douleurs de la cage thoracique.

La névralgie inter-costale est la plus répertoriée. L'irritation du nerf costal déclenche des douleurs longeant la côte.

Toutefois il existe d'autres formes de dysfonctionnements costaux tel que le syndrome

costo-transversaire correspondant à un manque de mobilité entre la côte et la vertèbre provoquant des points douloureux aigus dans le dos accentués à l'inspiration profonde.

Sans oublier le syndrome chondro-sternal, un dérangement articulaire entre la côte et le sternum.

Quelques conseils chiropratiques pour un dos en pleine forme

Notre quotidien est ponctué de gestes et habitudes affectant notre dos de façon considérable.

Il est simple de modifier quelques détails pour bénéficier d'un confort vertébral et d'une protection de nos articulations.

Nous avons évoqué précédemment combien il était nuisible de croiser les jambes en position assise. Une habitude affectant le bassin, les hanches et le bas du dos [lombaires].

C'est un automatisme inconscient souvent ancrée depuis des années. D'où la difficulté à changer. Cependant trois à six mois d'efforts [de concentration] suffiront à vous en débarrasser.

Le deuxième conseil est de ne plus dormir sur le ventre.

Nous passons chaque jour sept à huit heures allongés.

Imaginez sur le ventre, votre tête tournée dans une position verrouillée généralement toujours du même côté [selon la position de vos deux premières cervicales]. Cette habitude induira des perturbations significatives de la région cervicale.

La position de sommeil recommandée est celle sur le côté, en alternant gauche et droite.

Soyez attentif à votre oreiller, ni trop haut ni trop plat, ainsi qu'à votre matelas adapté à votre morphologie, ni trop mou ni trop ferme.

Lors d'un long trajet il existe également quelques gestes et réflexes à acquérir.

Nous y avons consacré deux articles portant sur le déplacement en voiture et en avion à l'autre bout de la planète.

Et ne pas manquer l'information concernant les positions préconisées lors d'un arrêt prolongé à la plage.

Pour les lire cliquez sur les liens ci dessous :

Pour toute question sur la prise en charge chiropratique, n'hésitez pas à nous contacter via notre formulaire de contact !

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