Un dopant naturel pour les sportifs : la chiropraxie
L'un de vos souhaits et peut-être même une de vos résolutions pour l'année 2018 est d'améliorer vos performances sportives, de progresser en endurance, en concentration, en force physique ou en résistance mentale ?
Tout ces progrès sans passer par la case produits chimiques.
Vous pourriez essayer la chiropraxie !
Saviez vous que les plus prestigieux athlètes mondiaux sont accompagnés par un chiropracteur durant toute leur carrière? Usain Bolt, Ivan Lendl, Michael Jordan, TigerWoods, Martina Navratilova... pour ne citer que quelques uns.
Pour lire leurs témoignages regardez notre article : S'ils font confiance à la chiropraxie, pourquoi pas vous ?
Comment fonctionne la chiropratique ou chiropraxie ?
Le chiropracteur a pour objectif de permettre au système nerveux de fonctionner de manière optimale. Il délivre un traitement manuel en prodiguant des ajustements vertébraux afin de lever les interférences neurologiques.
Une vertèbre en dysfonction peut ne pas être symptomatique, ne pas présenter de douleur. Cependant ceci ne garantit pas que le système nerveux n'est pas affecté.
Cette dysfonction vertébrale altère la fonction neurologique ayant tendance à affecter le corps dans sa globalité : fatigue, perte de concentration, manque de tonicité musculaire, diminution des réflexes, endurance amoindrie...
Plus la localisation de la dysfonction vertébrale est haute sur la colonne et plus cela affectera l'ensemble de l'organisme. Le cerveau est l'unité centrale contrôlant le reste du corps via le système nerveux. Si il existe un dysfonctionnement vertébral dans la région cervicale, directement à la sortie de la boite crânienne, l'influx nerveux parcourant l'ensemble du corps sera impacté.
La chiropratique en corrigeant les interférences [qui empêchent le système nerveux de fonctionner normalement] permet à l'organisme d'acquérir :
- Un regain d'énergie:
Dépensant moins d’énergie à réaliser la même tâche, la puissance de l'organisme n'est plus altérée.
- Une vitalité retrouvée:
Les perturbations impactant différents organes sont levées.
- Une meilleur récupération et guérison des blessures:
L'information nerveuse circulant plus librement, le corps détecte plus aisément, d'abord les signaux et ensuite les dysfonctionnements. L'organisme réagira plus prestement et disposera de ressources accrues pour accéder à la guérison.
- Une prévention des blessures :
En rétablissant un système neuro-musculo-squelettique équilibré.
Quelques conclusions d'études scientifiques sur les performances
physiques et mentales en lien avec la chiropraxie
Le Docteur Mouch étudia 50 athlètes professionnels en bonne santé. Il créa deux groupes. Un de contrôle sans soin particulier et le deuxième groupe évalué pendant une période de soins chiropratiques de quelques semaines.
Les deux groupes ont été confrontés à 11 tests diversifiés.
Dr Mouch nota une amélioration des performances dans seulement 2 tests pour le groupe de contrôle, alors que le groupe évalué montra un progrès dans les 11 tests.
Plus spécifiquement, pour le test de rapidité de réaction de la main en réponse à un stimulus visuel le groupe de contrôle n'a eu que 1% d'optimisation contre 18% après 6 semaines pour le groupe évalué et plus de 30% après 12 semaines de soins.
Dr Mouch observa une progression globale des performances de plus de 10% après 6 semaines de soins chiropratiques. (1)
Alain Benhamou chiropracteur, étudia également les performances sportives d'une équipe de football. Les résultats de cette étude sont sans équivoque :
-Les paramètres liant la fatigue avec le rachis vertébral révèlent des résultats quantitatifs probants.
-Une mobilité plus rapide des joueurs sur le terrain.
-Une amplification de l'éveil mental, se traduisant par plus de vivacité.
L'expérimentation démontre que les soins chiropratiques apportent à des sportifs entraînés une meilleure condition physique et mentale.
Ces derniers initient chez les joueurs plus de motivation, un développement de l'esprit d'équipe ainsi qu'une sérénité plus profonde permettant un meilleur self-Control sur le terrain. (2)
En 2012, 18 judokas Brésiliens ont été évalués sur la force de préhension avec et sans soins chiropratiques.
Il s'est avéré qu'après seulement trois sessions d'ajustements chiropratiques les judokas ont augmenté leur force de 10% de la main gauche et 16% de la main droite, contre 0% d'amélioration avec les judokas non traités. (3)
Les résultats d'une autre étude de 2017 menée par Heidi Haavik et Al, attestent d'une augmentation de la force musculaire suite à une correction vertébrale chiropratique.
La conclusion de l'étude est: "La manipulation vertébrale sera préconisée pour les patients ayant perdu du tonus musculaire et / ou en phase de récupération de dysfonctionnements ayant endommagé des muscles, comme suite aux accidents vasculaires cérébraux ou aux opérations orthopédiques.
Bien évidemment une augmentation de la force musculaire, d'une façon naturelle, éveille fortement l'interêt des sportifs." (4)
L'amélioration des performances sportives passe par l'augmentation du potentiel des ressources naturellement existantes et disponibles de l'organisme.
Mieux vaut utiliser un moyen n’entraînant pas certains sacrifices physiques et psychiques comme lors d'utilisation de produits dopants, actuellement souvent nécessaires aux athlètes pour rester compétitifs.
Pour plus d'informations sur la relation entre forme physique et colonne vertébrale consulter un chiropracteur.
Sources :
(1) Lauro A. Mouch B. Chiropractic: The Journal of Chiropractic Research and Clinical Investigation. 1991; 6:84-87
(2) Chiropratique et performances sportives [expérimentation avec des footballeurs]- 1997- Alain Benhamou- diplôme universitaire "sport et santé"[Faculté de médecine de Bobigny].
(3) Effect of Cervical Spine Manipulative Therapy on Judo Athletes' Grip Strength
Marcelo B.Botelho DC Bruno B.AndradeMD, PhDb - J Manipulative Physiol Ther. 2012 January
(4) Impact of Spinal Manipulation on Cortical Drive to Upper and Lower Limb Muscles-
Heidi Haavik, Imran Khan Niazi, Mads Jochumsen, Diane Sherwin, Stanley Flavel, and Kemal S. Türker, Brain Sci. 2017 January